Ci-dessus: ida ou tanan, sidi abdallah hamar.
Cliquer sur les photos pour les agrandir puis les réduire . . .
Nous avions bien failli dormir dans la ruelle… hier soir en rentrant de notre sortie dans la medina, nous trouvons grille close. Il faut dire que je ne connaissais pas l’existence de cette barrière. Essais de toutes les clés et téléphones au riad, furent vain. Dernier recours, un appel à ahmed, fourijat j’avais son numero, a réglé la situation et nous avons pu regagner nos lits, faisant le bonheur d’un couple et son jeune garçon, pour la première fois à Marrakech. Mais au Maroc (comme ailleurs) il y a toujours une solution.
Les photos sont un peu brunes… je ne sais pas très bien pourquoi, je n’ai pas contrôlé les réglages, ce sera l’ambiance impromptue du jour.
Dans notre bus pour la semaine. Les talus bordant l’autoroute Marrakech > Agadir camouflent les nombreux marabouts bordant ce tracé. Heureusement j’en connaissais déjà la plupart, dont le N° 152, sidi abdallah hamar.
Pause “ chouchous “ et autres, sur la piste menant à Inzerki !!
Comme dessert, les incontournables schleckrrrrrr de San….
Nous progressons dans les terres rouges, parsemées d’épineux, caroubiers, eucalyptus et autres essences vernaculaires qui produiront un miel délicat.
Et un marabout, ancien, au milieu du cimetière au nom encore inconnu, mais référencé sous le N° 721. Le premier d’une longue série, je le souhaite !
Taddart agouram, le rocher saint ; Datant du XVIe siècle, en activité jusqu’à la fin des années 90 et réhabilité vers 2006 afin de conserver ce patrimoine ancestral. Bâti en pisé, contenant un millier de cases, il est considéré comme le plus grand grenier traditionnel du monde.
Panier en osier fermé par un couvercle dans le quel les abeilles construisent elles-mêmes leurs rayons. D’où une plus faible production.
La seguia, à chacun son tour d’eau. Le fruit du caroubier et l’ombre sur la terrasse de l’apiculteur.
C’est la sécheresse dans tout le pays, le bassin est désespérément à sec, mais toujours la nature reprend ses droits.
Rien ne change, LA femme à la vaisselle, avant le premier piche-nique du séjour. Accompagné de miel bien sûr, de thym avec pollen, à gauche et de cactus.
Une seguia à sec, son tour d’eau est à venir. Et comme le ramadan est pour le mois prochain, les slogans fusent : “ généreux ramadan “.
Et encore un nouveau marabout, celui d’Imouzzer-ida-ou-tanan, une dame pour notre plaisir : Lalla aicha ou abdallah.
Petite mise en jambe pour demain le long de l’oued al jenna qui veut dire Paradis, où nous irons toutes bientôt !
Les structures des palmiers.
Et à aourir le dernier (nouveau) du jour.
Les vagues de l’océan atlantique, terme de l’étape.
Credits:
©Dominique Wacker-Cao