Et l’on retrouve le Rhône
Via Francigena, 2ème partie...
Avant-hier soir nous étions en compagnie de Laurence et hier c’était un tour d’une collègue de Carine de venir nous retrouver pour le repas (absolument succulent, merci Janine et Bernard) dans cette superbe abbaye de Salaz qui n’accueille que les pèlerins de la Via Francigena. Soirée conviviale en compagnie de vignerons de Schaffhausen et de Salaz. Autrefois propriété rurale depuis le XIe siècle, appartenant aux moines de Saint-Maurice, ce magnifique domaine est actuellement occupé par la troisième génération de la famille Zbinden, voir ci-dessous l’historique de cette bâtisse.
Voulant imiter Versailles, La Gryonne descend en escaliers jusqu’au Rhône.
De loin… non ce ne sont pas des phares mais une des nombreuses entreprises de la vallée du Rhône, SATOM SA à Monthey, usine d’incinération et de valorisation des déchets.
Les berges du Rhône, que nous longeons, de l’aérodrome de Bex à La Balmaz.
Les réflexions du jour :
Le drapeau de Saint-Maurice, représentant une croix grecque aux extrémités en forme de trèfle.
Détail de la porte, intérieure et extérieure, de l’Abbaye de Saint-Maurice. Pour d’autres explications se référer également au lien ci-dessus (je suis passée par là à vélo) de l’étape cycliste sur la Via Rhôna, octobre 2020.
Deux bornes de la Route impériale, reliant Paris à Roma et à Napoli en passant par le Simplon et Milan, établie en 1806 sur un ordre de Napoléon. Les distances restantes étaient indiquées tous les kilomètres, dans un sens pour Brigue et dans l’autre pour Saint-Gingolph. Ici, à Evionnaz et à l’entrée de La Balmaz.
La ligne anti-chars de Collonges à Evionnaz, où subsistent quelques-uns des célèbres tétraèdres“ Toblerone “ et des dents de dragon.
Credits:
©dominique wacker-cao