Ci-dessus : après animeter, mine de sel.
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Pour la 56e fois au Maroc…
La toujours superbe vallée de l‘Ounila, en montée cette fois-ci. Elle a peu à peu repris un aspect sauvage, les talus coupés par les bulldozers sont de nouveau assaillis par la végétation, la route est restée en très bon état. Et le tronçon depuis animeter a été refait jusqu’à la bifurcation. Malgré cela pas trop de motards ni de quads. Fourijat !
Juste une nuit ici, c’est un peu court, mais le retour est déjà prévu pour octobre. Merci encore de votre chaleureux accueil.
La boutique de l’antiquaire : pas de chance pour Claude, le dernier astrolabe a été vendu la semaine dernière. Mouhammad y pourvoira pour la prochaine fois, inch allah. Quant à Omar, il est orphelin de ses dromadaires qui ont été vendus à m’hamid. Trop de travail et trop âgé pour s’en occuper. Pour voir Stan, Maryline, Ella et le petit dernier Charlie, il faudra descendre dans le Sud. Tous aux noms de musiciens de jazz, la passion de Michel.
Il y a fort longtemps que l’on n’était aller voir la mine de sel. Une fois même nous avions pu la visiter. Aujourd’hui totalement à l’abandon, les bassins sans eau, même le gardien a disparu. À trop vouloir s’approcher de l’entrée voilà ce qui arrive. Peut-être l’endroit pourrait-il être recyclé en centre thermal spécialisé dans les bains d’argile !!!
L’oued tout proche, le prêt d’une brosse par les lavandières et la lessive est faite…
Les amis de l’ounila…
Abdoullah qui a dû abandonner son poste de la bifurcation (Talouat 20 km), chassé par les travaux et les policiers y stationnant en permanence. Heureusement il n’a migré que de quelques centaines de mètres plus loin et nous l’avons retrouvé.
Momo (dont la femme habite Genève) et Omar, côte 2260 du col du Tichka, nos fournisseurs de sangliers en terre. Le dernier modèle rentre tout juste dans la voiture.
À Taddart l’incontournable Ahmed, dans son jardin. Je m’y arrête à chaque passage, la première fois en 1999 ! Et immuablement le meilleur tajin du Maroc. Après la cuisine, le bureau où il prend le temps d’établir des factures parsemées de motifs fleuris.
Les cultures en terrasses de la vallée du zat, itinéraire tellement plus beau pour rejoindre Marrakech, au départ de Zerkten. Renseigné il y a des années par Ahmed. Mais ça grimpe et pas toujours praticable par mauvais temps.
Un nouveau barrage sur le zat. Le Maroc, champion de la construction de ces ouvrages. Pour de bonnes explications, visiter le musée de l’eau à Marrakech.
Credits:
©dominique wacker-Cao