Ci-dessus: le lac du barrage
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08:15, coucher de lune sur ciel déjà saturé de lumière
De la terrasse de notre hébergement du Dar Daïf, vue imprenable sur la plaine nous séparant du lac de barrage. Il fait encore un peu frisquet mais c’est stoïques que nous déjeunerons dehors. Par contre, contrairement à Marrakech, la température de la piscine n’incite pas à faire trempette.
Remake “nine-eleven” . . . mais les marabouts c’est du solide!
Nous faisons partie de la catégorie des fidèles et donc impossible d’être à Ouarzazate sans passer à la Boulangerie du Sud, la façade pâlit mais le pain est toujours aussi délicieux.
Pour les achats du jour, Catherine choisit Anaïs paie
L’indispensable au Maroc . . .
Enfin une explication à cette étrangeté . . .
Hier soir, au moment de fixer le rendez-vous pour la balade ornithologique en canoë, prévue sur le lac du barrage, on nous annonce qu’il n’y a pas de guide. De confusions en quiproquos, lors des échanges de courriels, fait que: adieu les chants d’oiseaux, les vols d’échassiers, les battements d’ailes dans les hautes herbes, les parades amoureuses (enfin ce n’est peut-être pas la saison!), nous n’y connaissons vraiment rien et nous réjouissions de combler cette lacune . . . une autre fois, inch allah !
Ce sera avec notre véhicule que nous nous baladerons au bord de l’eau-pas-très-claire, mais ô combien changeante
De profil ou de face, on ne s’en lasse pas
Ah LE pique-nique, quel moment toujours si fantastique, en des lieux imprévisibles et inoubliables, si le vin est “sur la table” le citron fait encore défaut. L’année dernière c’était les oranges, étrange. Nous devrions insister, c’est bon aussi pour la santé les citrons !
Une nouvelle théière, une experte en feu, cela se termine par un délicieux breuvage
Un peu de culture avec la visite de la Kasbah de Taourirt, si vide, si froide, si mal entretenue, fausses zelliges et quelques stucs: on se demande comment elle peut être citée comme l’une des plus belles du Maroc? Morceaux choisis . . .
Dans les rues de l’ancienne medina, les malams pratiquent toujours l’art ancestral des constructions en pisé, tout n’est pas perdu.
Credits:
©dominique Wacker-Cao