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Belle Italia: Toscana e non solo samedi 26 juin 2021

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Intorno a Caneva : Sacile, Pordenone, Stevena… retour aux sources.
Stevena, l’église Santa Maria del Carmine dont les premiers fondements datent du XVIIe siècle, enrichie au fil des ans et décorée de splendides peintures… mais c’était fermé !
Le village de caneva depuis le château

Sur la colline dominant la ville, l’église Santa Lucia entourée du vieux cimetière et le château dont on ne connaît pas exactement la période de construction, vers le Xe siècle. Souvent assiégé de par sa position stratégique il perd finalement de son importance lorsque que Caneva se soumet à Venezia dès le début du XVe siècle. Il sera finalement complètement abandonné quelques 200 ans plus tard mais bruisse à nouveau de chants, de danses, de festins, lors des fêtes médiévales du mois de juillet.

L’église du centre de Caneva (1822], dédiée à San Tomaso, qui va me tenir en haleine près d’une heure. Quelques lames dans leur fourreau, de beaux képis, des manches galonnées, des robes froufroutantes, tout cela présage sûrement une sortie de mariés… qui ne sont pas pressés ! Et moi j’attends !!

Les dernières instructions à cette belle brochette d’officiers, le ballet s’organise.

Les belles robes trépignent et je joue des coudes.

Les épées cliquettent, les mariés enfin s’avancent, d’un coup de lame l’époux relève la dernière haie et perd son képi, facétie des copains ! Je me suis bien amusée.

Un peu d’histoire… familiale…

Changement de sujet avec la tournée des lieux d’enfance du côté de la famille maternelle de mon papa. La maison où est née ma Nonna, celle de mon papa avant leur départ pour la Belgique en 1933…

Le cousin Luciano qui a travaillé quelques années en Belgique et a gardé un tel accent que je me crois dans la région Liégeoise trop drôle ! C’est devant cette maison, où le palmier n’existait pas encore, qu’a été prise la photo de 1953 lors du voyage de noce de mes parents. Mon papa à gauche, la zia Assunta en noir avec le col blanc, sa fille Mirella la plus petite et Luciano devant le mari d’Assunta, zio Luigi.

La famiglia Chiaradia, presque au complet…

La bis nonna, 96 ans et ses arrières petites-filles. La dernière survivante de la génération de ma Nonna, que j’appelle zia puisqu’elle est la femme de mon grand-oncle, à qui j’ai dédicacé le livre des Bourbaki.

Les nanas de la tribu (en vert Mirella de la photo N/B). Je vous fais grâce de l’arbre généalogique !! Pour les éclaircissements vous savez où me trouver…

Igloo et la bougie magique…

Created By
Dominique Wacker-Cao
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Credits:

© dominique wacker-cao / 2021.06

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