Ci-dessus: le site mégalithique de Mzoura
Cliquer sur les photos pour les agrandir puis les réduire . . .
Comme les cigognes de Kenitra (elles sont vraiment partout réquisissionnant exclusivement les situations élevées), nous remontons vers le Nord, ultime étape en terre marocaine jusque Tanger Med et le ferry pour l’Europe.
À la sortie de Kenitra, le vieux pont enjambe l’oued Sebou, le nouveau juste à côté n’est bizarrement pas encore ouvert !
Et sur la route, que cherche-je, que vois-je: des marabouts bien sûr, un nouveau, Sidi Assa, trône au milieu de fleurs bleues et jaunes.
Pour Valentine: 1 entraîneur, 2 buts et 32 joueurs!
Trois d’un coup, ouverts exceptionnellement par le Mouqaddam, Moulay Tami, gardien des lieux. Sidi Mouhammad Bou Asria, Sidi Mouhammad bin Mansour avec son tombeau et Lalla Mira au sein du mausolée isolé.
La photo avec Moulay Tami, à apporter lors d’un prochain passage.
Il n’y a pas qu’à Tamri que poussent les bananes . . . ici sous serre.
Vu de l’autoroute en 2016, je suis venue vérifier que ces toits verts n’étaient pas qu’une mosquée. Le lieu de prières n’est plus utilisé mais Sidi Hachmi y est toujours vénéré. Bien renseignée par Salma, Tamou, Hiba, la maman Hadda et mon nouvel ami sur WA, Bilal, qui s’est empressé d’aller trouver du wifi pour m’envoyer une photo.
. . . à ciel ouvert, avec ex-voto et vue sur le terrain de football.
Le cromlech de Mzoura, magnifique site mégalithique, merci à Laurence de me l’avoir fait découvrir en octobre 2018
“Rounou“ Maroc, à Mellousa, siège de construction des Dacia Lodgy, Sandero, Dokker et autres Logan.
Et les deux derniers mausolées, juste avant d’arriver au port de Tanger Med, au sommet d’une haute colline battue par le vent, Sidi Ahmad bin Ajiba, père et fils, dont le moussem annuel semble très couru, au vu des énormes infrastructures autour des bâtiments.
Le costume typique des femmes tangéroises, jupes, foulards, châles à lignes, généralement dans les rouge et blanc ou rouge et bleu.
Arrivés dans la plaine, juste avant une amende pour excès de vitesse, décidément on les collectionne cette année !
. . . 4 heures d’attente à l’embarquement et deux heures de plus avant le départ, pour deux nuits en Méditerranée jusque Sète.
Credits:
©dominique Wacker-Cao