Ci-dessus : tighfart, pour appeler le mokkadam du marabout, pratique !!
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Pour la 56e fois au Maroc…
Je pensais en avoir fini avec les marabouts, car l’on arrive en territoire connu. Mais que nenni, quand il n’y en a plus il y en a encore, et pas des moindres. Allez, courage !
La palmeraie de la vallée du ziz s’étend sur près de 25 km..
Mais attention aux incendies… les troncs noircis en savent quelque chose.
Comme nous échangeons chaque jour avec nos compagnons de ferry, nous réalisons que Christine et Michel ne sont qu’à 20 km plus au Sud. Hop une petite visite c’est sympathique. Et de plus que trouvons-nous sur ce trajet… des marabouts bien sûr.
Dans le camping, Geneviève, des environs de Perpignan, nous présente sa création. Un moulinet bien astucieux. À vos ciseaux… l’on peut aussi utiliser des canettes de Coca :-)
Toujours patient, Claude attend que l’exploration d’un marabout soit terminée.
Pas de trucage pour ce vert si lumineux.
Et là non plus avec les déclinaisons anthracites du contre-jour.
Alors ça ! Tout à fait par hasard, l’on retrouve Hélène et Francis à tinghir. Comme nous partons chez le couturier local, Francis se joint à nous et a craque aussi pour une tunique couleur locale. Non, non nous n’avons pas de commission ! Quel plaisir, ensuite, de partager apéritif et repas.
Et des marabouts bien sûr…
Tighfart, sidi mouhammad al houari… où le mokkadam Omar aradî est si heureux de nous faire visiter le mausolée. Construit pour une famille nombreuse et excessivement bien entretenu. Un moussem s’y tient chaque année.
Al khorbat, sidi bou guercif. Où les traînées de pisé sont presque des œuvres d’art.
Credits:
©dominique wacker-Cao