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Maroc*56 > J4 Jeudi 2 mars 2023 : nador > oujda

Ci-dessus : oujda, les zelliges de sidi yahya.

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Pour la 56e fois au Maroc…

Cap vers l’Est et les stations balnéaires de la côte d’Alboran, qui n’ont rien à envier à Rimini, l’on ne s’y arrêtera pas ! Arrêt au petit port de ras al ma pour un dernier repas poisson avant l’Atlantique dans une semaine. La mer abandonnée à la hauteur de saïda pour le plein Sud et les confins du Maroc le long de la frontière algérienne. Algérie que l’on chatouillera à maintes reprises. Journée sur le signe des marabouts, nous allons avoir une indigestion. Mais ma collection s’étoffe vitesse grand V !!

nador > oujda, 163 km.

*

Le ciel est un peu plombé, la route brille, le passage du 100 au 80 a passé à la trappe…

… résultat, 1 seul jour de route et déjà une amende !!

Après oujda, la portion d’eau comprise entre la terre et une digue la séparant de la mer d’Alboran, se nomme joliment Mar Chica, fille de la mer. Peu d’oiseaux profitent de cette belle étendue. Ou alors ils faisaient déjà route vers le Nord.

Et encore des briques !

Les couleurs du Maroc, que l’on voit plus couramment dans l’Atlas, les terres rouges et le vert luxuriant des cultures.

Au large de ras el ma…

Les îles zaffarines

Territoire espagnol, ces trois îles sont revendiquées par le Maroc. Elles appartiennent à l'Espagne depuis 1848. De gauche à droite, l’île du Roi, l’île Isabel II où se trouve une base militaire, l’église de la Purìsima Concepción, un mémorial à la Légion, un phare et l’île du Congrès abritant un cimetière.

Ton sur ton !

Les beaux zelliges de sidi yahya.

Et bien sûr des marabouts…

Entre ceux que Claude avait déjà prévu en épluchant Goggle Earth (un peu comme le protagoniste du film Lion) et les impromptus qui nous font signe, c’est un véritable raz de marée qu’il faut gérer !

anaman, sidi lahsan.

moulay ali chrif, moulay ali chrif, avec fenêtre sur mer.

sidi mimoun, sidi mimoun, complètement ruiné.

sidi brahim, sidi brahim.

ahfîr, sidi mustafa, renseignée par un monsieur qui priait sur la tombe de sa maman. Il a essayé de trouver quelqu’un afin de m’ouvrir le mausolée, en vain.

bani drar, moulay chrif, à gauche et sidi ahmed, à droite.

oujda, cimetière sidi mouhammad, sidi mouhammad, renseignée par ahmed qui a travaillé 20 ans à Frankfurt. Il a enfourché son vélo et m’a dit de le suivre. Il aurait pu me prendre sur le porte-bagages ! Après l’arabe, exercice d’allemand !!

oujda, sidi driss, on y mange, on y boit (de l’eau et du thé evidemment) et on palabre… on c’est-à-dire les femmes ! Et elles sont tellement fières que l’on s’intéresse à leur marabout. On c’est-à-dire moi ! C’est si différent qu’ailleurs au Maroc où très souvent il est interdit de prendre des photos, d’entrer dans le mausolée. Ici le partage est un plaisir.

oujda, sidi mouhammad bin talib.

oujda, sidi yahya.

oujda, sidi atacadão, fils de sidi carrefour !!!

carine ado00000re les phares...

Les derniers avant ceux de l’océan, un marocain et un espagnol…

Situé au-dessus du port de ras al ma, de construction moderne, mis en service en 1946.

Mis en service en 1899, automatisé avec installation à acétylène en 1927 avec suppression de personnel et électrifié avec alimentation par panneaux solaires en 1984.

Created By
Dominique Wacker-Cao
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Credits:

©dominique wacker-Cao