Ci-dessus : journée autour de l’embouchure du Drâa !!
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Pour la 60e fois au Maroc…
Selon les excellents conseils de Magali, nous passons cette journée à nous rendre au confluent du Drâa et de l’océan. Je n’en reviens encore pas du nombre de kilomètres parcourus pour boucler ce circuit. Juste 10 de moins qu’hier depuis Lagzira.
Lever de soleil derrière l’ancien ksar.
Étranges nuages…
Nous avons quand même dû pousser sur 2 m, beaucoup de vent hier et cette nuit, les traces ont été recouvertes. L’on verifie la trace d’hier et l’on repart.
Un tube de rouge à lèvres (marocain) pour laisser notre marque.
Repérage de l’entrée de la voie rapide, pas du tout évidente. Mais comme il n’y a pas encore trop de circulation cela ira ! Sur cette voie quatre pistes il n’y a quasi plus d’entrée ni de sortie entre les villes principales et aucune autre route secondaire parallèle. Cela va peut-être venir, soyons patients.
Route jusque Tan-Tan puis dès l’approche de l’oued, piste facile afin d’admirer les merveilleux abords du fleuve. Le plus long du Maroc avec 1100 km de long. Sa source est située dans la région de Ouarzazat, il draine une grande partie des eaux du haut et moyen Atlas. La partie la plus connue est la verdoyante (de moins en moins) vallée du Drâa et ses nombreuses palmeraies.
L’embouchure du Drâa est en vue.
Une histoire de dromadaires…
Instant pique-nique au bord de l’oued Drâa.
Petite tempête et demi-tour pour rejoindre l’embouchure du fleuve.
Les derniers instants du Drâa avant de mourir dans l’Atlantique.
L’on ne peut y résister…
Vagues…
Les emplettes à Tan-Tan, l’on a failli partir sans nos deux amies !
Retour au ksar, sans problème, même avec le soleil de face, nous la connaissons maintenant par cœur cette piste.
Credits:
dominique wacker-cao