Ci-dessus : jbîl, reflet dans les eaux du petit barrage.
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Pour la 56e fois au Maroc…
Lorsque l’on quitte Marrakech, en général c’est pour la route du retour. Elle sera longue aujourd’hui car je voulais passer par khouribka, je devais sentir qu’il y aurait encore des tas de marabouts.
Que serait Marrakech sans ses charrettes, si pratiques, surtout que maintenant les parkings sont éloignés.
Et ces couleurs extraordinaires, déjà contemplées en février.
Khouribka (normalement orthographiée khouribga) où je voulais venir parce que la Tata Maïté valaisanne de Brice a vécu là plusieurs années. Tonton, lui de Belgique, était chimiste au Centre de production des phosphates de cette cité minière. Considéré comme un des plus importants au niveau mondial. Nous parlions souvent de khouribka, lorsque ce couple a quitté le Maroc pour venir s’installer à Saint-Blaise où mes parents les ont connus. Ci-dessous les terrils des déchets. Passage furtif tout de même, il faudra refaire ce trajet afin de visiter le musée dédié à la mine.
Rabat s’orne d’un bâtiment vertical, la nouvelle tour Mohammed VI, seconde plus haute tour d’Afrique, 190 m, construite sur la commune de salé. Là encore une semaine de séjour dans cette ville est à programmer absolument. À gauche les murailles de la kasbah des Oudayas.
Souvenirs 2017…
Jbîl, sidi ktâ, le fils.
Douar al sasla, sidi yassou, bien vandalisé.
Un marabout à antenne, el kelat es sraghna, sidi abdelwahid.
Al bourouj, sidi hassan… ne déparerait pas dans un parc d’attraction !
Oulad fars al halla, sidi larben lakhra.
Sidi mouhammad sihkh.
Sidi rafa.
Khouribka, sidi al haj abdelkader charkaouki.
Credits:
©dominique wacker-Cao