Ci-dessus: marabout de timzguida ouftas.
Cliquer sur les photos pour les agrandir puis les réduire . . .
Dernier petit-déjeuner dans notre sympathique hébergement de taghazout, le riad surf, réservé rien que pour nous. Il n’y a pas que les hommes qui sont spécialistes dans le service du thé, pas une goutte à côté, bravo Sifrine.
Et en route pour de nouvelles aventures, nos deux hommes invariablement aimables et souriants. Sa’id notre guide de presque toujours et Driss que nous avions déjà rencontré dans le précédent voyage en 2020. L’œil du maître dans le rétroviseur, yalla vers le Nord.
La route des bornes (qui délimitent les terrains côtiers)…
Des dromadaires faméliques broutent une bien rare pitance.
… pour une belle descente vers “ NOTRE “ plage privée et le rocher (en bas à gauche) de tous nos piques-niques.
De la pluie de la chaleur et tout de suite le sol se pare de couleurs.
Le poste de surveillance de la plage de timzguida, (timzguida ouftas).
Pause “ chouchou “ et tentative de baignade, pas très concluante, l’air est frais à la sortie.
Le marabout de timzguida ouftas, numéro 427 de la collection.
Un dernier coup d’œil sur cet endroit magique avant un arrêt repas dans une famille du village, situé sur le plateau.
A défaut de blé, de luzerne ou d’orge l’on cultive maintenant les cailloux !!!
“ Quand on n’a pas de pétrole “… le minaret se suggère pas un dessin.
Homme polyvalent, notre chauffeur se mue en cuisinier… et c’est délicieux. Il cuisine aussi bien qu’il conduit.
De gauche à droite : Memmes, Nada (le bébé a 7 jours) et Ichja. J’étais aussi emmaillotée ainsi à ma naissance, pour avoir des jambes bien droites, disait ma grand-maman. Rien ne change. Le papa est un peu perdu avec toutes ces nanas.
Enfin Tasgua Yan, où je reviens chaque année depuis que j’ai découvert cet endroit hors du temps. Calme et volupté où l’on ne séjourne jamais assez longtemps.
Comme la marche nous manque, petit tour à la plage avant un hammam mémorable dans la toute nouvelle installation du spa. Photos sensurées évidemment !
En sirotant l’apéritif depuis le salon aux larges baies vitrées, on ne peut que rester bouche bée devant la nature si généreuse.
Credits:
©Dominique Wacker-Cao